Ni d’Eve, ni d’Adam d’Amelie Nothomb

Résumé du Roman

« Stupeur et tremblements pourrait donner l’impression qu’au Japon, à l’âge adulte, j’ai seulement été la plus désastreuse des employés. Ni d’Ève ni d’Adam révélera qu’à la même époque et dans le même lieu, j’ai aussi été la fiancée d’un Tokyoïte très singulier. »

Amélie Nothomb

L’auteur

Née au Japon, de parents belges, Amélie Nothomb vit entre Bruxelles et Paris. Dès son premier roman, Hygiène de l’assassin (1992), elle a conquis un large public. Mais c’est Stupeur et tremblements (1999), vendu à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires et couronné par le grand prix du roman de l’Académie française, qui l’a définitivement consacrée comme un écrivain majeur.

Ses livres sont aujourd’hui traduits dans plus de 30 langues.

Source : dossier de presse de l’éditeur

La presse en parle

… On trouvera de tout dans cette idylle entre l’Orient et l’Occident: la recette de l’okonomiyaki et les secrets de fabrication des bières belges, la peinture époustouflante du mont Fuji et la description hilarante des moeurs au pays du Soleil-Levant, l’analyse de l’impitoyable système éducatif japonais et l’extraordinaire dignité des habitants de Hiroshima, la passion sans retour de ce pauvre Rinri et la naissance d’une romancière à la liberté chevillée au coeur.
L’Express – Marianne Payot – 30 Août 2007

Est-ce le retour à l’autobiographie ou au pays du Soleil-Levant qui permet à Amélie Nothomb de retrouver la grâce de ses premiers livres ? Toujours est-il qu’on se laisse emporter dans cette ballade sentimentale, culturelle et linguistique. Mélancolique parfois, lucide toujours, Ni d’Eve ni d’Adam, dévoile surtout, derrière les odeurs suaves de gingembre et les couleurs douces-amères du récit d’apprentissage, le roman sans doute le plus intime de cette écrivain définitivement atypique.
Le Monde – Christine Rousseau – 31 Août 2007

Là où d’autres auraient livré un roman d’amour, Amélie Nothomb, de son écriture limpide, parfois un peu trop précieuse, décrit cette relation à travers le prisme du décalage des cultures. Les observations sur le Japon et les Japonais sont incisives. Le récit du dîner organisé par Rinri pour présenter Amélie à ses amis est savoureux. Les apparitions des grands-parents de Rinri, aussi exubérants que lui est réservé, sont irrésistibles. Les livres qui font sourire sont assez rares : il faut profiter de celui-là.
Les Echos – Renaud Czarnes –