Introduction
Jules Michelet est né le 21 août 1798 à Paris, est un historien français.
En 1812, le jeune Jules entre au lycée Charlemagne. Il y fera d’excellentes études jusqu’à son baccalauréat en 1817, qu’il complète par une licence en 1818. Il poursuit ses études, en gagnant sa vie comme répétiteur dans une pension, et obtient un doctorat en 1819, puis se présente au premier concours de l’agrégation organisé en 1821. Il est reçu troisième. La voie est tracée, ce sera celle du professorat et de la recherche, même si le terme est quelque peu anachronique, c’est tout de même de cela qu’il va s’agir.
Dès 1818, il tient un journal de ses lectures. En mai 1820, il commence un journal qu’il abandonne en 1822, mais qu’il reprendra plus tard (de 1828 à sa mort). Et la même année, il rédige un « Mémorial » dans lequel il consigne ses souvenirs d’enfance.
Sa vie est donc aussi un réservoir de connaissances qu’il utilise pour alimenter son travail d’historien. Tout sert, les lectures, les voyages, les rencontres, les conversations, sans oublier, naturellement, les documents.
Libéral et anticlérical, il est considéré comme l’un des grands historiens du XIXème siècle bien qu’aujourd’hui controversé, notamment pour avoir donné naissance à travers ses ouvrages historiques à une grande partie du « roman national » remis en cause par le développement historiographique de la fin du XXème siècle.
Il a également écrit différents essais et ouvrages de mœurs dont certains lui ont valu des ennuis avec l’Église et le pouvoir politique. Parmi ses œuvres les plus célèbres de l’époque, Histoire de France, qui fut suivie d’Histoire de la Révolution.
Il est mort le 9 février 1874 à Hyères
Source bibliographique : maremurex.net & michelet-biblio.univ-lille.fr
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