Je vais bien, ne t’en fais pas d’Olivier Adam

Résumé du livre

Une autre lettre de Loïc. Elles sont rares. Quelques phrases griffonnées sur un papier. Il va bien. Il n’a pas pardonné. Il ne rentrera pas. Il l’aime. Rien d’autre. Rien sur son départ précipité. Deux ans déjà qu’il est parti. Peu après que Claire a obtenu son bac. A son retour de vacances, il n’était plus là. Son frère avait disparu, sans raison. Sans un mot d’explication. Claire croit du bout des lèvres à une dispute entre Loïc et son père. Demain, elle quittera son poste de caissière au supermarché et se rendra à Portbail. C’est de là-bas que la lettre a été postée. Claire dispose d’une semaine de congé pour retrouver Loïc. Lui parler. Comprendre.

Olvier Adam, Je vais bien , ne t'en fais pas !

Biographie de l’auteur

Né en 1974, Olivier Adam a grandi en région parisienne et vit actuellement en Bretagne. Son premier roman, Je vais bien, ne t’en fais pas (Le Dilettante, 2000) ouvre un diptyque sur le thème de la disparition qui se poursuit avec A l’Ouest (Editions de l’Olivier, 2001). Egalement scénariste et auteur pour la jeunesse, Olivier Adam a notamment écrit Poids léger (Editions de l’Olivier, 2002), adapté pour le cinéma par Jean-Pierre Améris et Passer l’hiver (Editions de l’Olivier, 2004) qui a reçu le Goncourt de la Nouvelle 2004. Son dernier roman, Falaises, a paru aux Editions de l’Olivier en septembre 2005.

Olivier Adam publie A l’abri de rien le 23 Août 2007 (Editions de l’Olivier)

La presse en parle

Le livre fermé, sa silhouette frêle et lumineuse bouleverse encore.

Le Monde des livres – Emilie Grangeray

Si toute oeuvre vraie répond à une nécessité, celle de ce joli premier roman apparaît manifeste : traduire la douleur des coeurs simples, dire ce que fut leur écrasement.

Le Figaro littéraire – Sébastien Lapique

L’écriture simple, mais vive et gracieuse, plonge dans une réalité crue, des additions de courses aux égarements sentimentaux.

Télérama – Martine Laval

Bâti autour d’un secret, ce très beau petit livre d’aujourd’hui ressaisit magnifiquement, à fleur d’émotion, la douleur de n’être pas assez et le bonheur triste de vivre parmi trop de gens sans attention.

Jean-Louis Kuffer, 24 Heures.

Source bibliographique Je vais bien, ne t’en fais pas d’Olivier Adam ( Editions Le Dilettante)